Lors de son allocution face aux français ce mardi 9 novembre, Emmanuel Macron tenait à mettre un point sur la situation actuelle de la pandémie, qui semble regagner du terrain dans l’Hexagone. Ce dernier a alors annoncer de nouvelles mesures pour freiner la propagation du Covid-19. Parmi elles, la suspension des allocations chômage pour les personnes qui ne cherchent pas activement un emploi ainsi que l’ouverture de l’accès à la troisième dose pour les personnes agées de 50 à 64 ans à partir du mois de décembre. Il faudra également travailler au moins 6 mois pour être indemnisé et non 4. Le report de l’âge à la retraite a été annoncé ainsi que l’obligation de port du masque dans les écoles.
Sur TF1 dans son journal de 20h, le journaliste Gilles Bouleau commentait à chaud l’allocution présidentielle qui présentait toutes ces mesures,en énumérant l’ensemble de ces points. Lors de son discours, le journaliste a fait une énorme bourde en direct. « Les mesures annoncées ce soir concernent notamment le renforcement des contrôles du pass sanitaire et le port du voile » a-t-il affirmé avant de revenir rapidement sur ses propos : « Du masque, pardonnez-moi, et elles vont avoir des conséquences pour les restaurateurs… », a-t-il continué sans se laisser distraire par l’énorme erreur qu’il venait de faire.
Les internautes réagissent à la boulette de Gilles
Su Twitter, les internautes se déchaînent. Évidemment, ils n’allaient pas laisser passer une telle bourde. Une séquence d’une extrême brièveté n’a toutefois pas échappé à la taquine Twittosphère qui s’en est donné à coeur joie : « PTDRRR OH LE FOU » , « Le lapsus de Gilles Bouleau qui dit le « port du voile » au lieu du port du masque dites moi que je suis pas le seul à l’avoir vécu en direct , » Pôle Emploi : C’est moi ou j’aperçois Gilles Bouleau ici ?« ,« Gilles Bouleau quand il va arriver demain à TF1 et que ses collègues vont l’appeler Gilles Boulette « , pouvait-on notamment lire sur Twitter. « Gilles Bouleau a gagné sa place dans les bêtisiers pour les 30 prochaines années. À jamais dans l’histoire« . En tous cas, son lapsus restera longtemps dans les annales !